Archives pour: Décembre 2008, 10

10.12.08

07:30:00, Cat�gories: Dossier  

par Ivenpast

(suite de la partie 1) ... On citera avant de passer à l’étape suivante, la voiture construite et utilisée par le Punisher dans le film éponyme des années 2000 où, en parallèle de son concepteur, elle aborde les qualités d’un char d’assaut permettant également une belle course poursuite. Néanmoins, de course poursuite en accidents de la route, il faut passer à la vitesse supérieure et de simple objet à l’extension d’un personnage, on va naturellement aboutir à l’étape suivante où la voiture devient elle-même un personnage de fiction.

batmobileA ces quelques mots doivent normalement surgir 3 véhicules : la Delorean de Retour vers le Futur (impossible de ne pas la citer dans un tel dossier !), la Batmobile des années 90 et 2000 (trop marquante pour être ignorée, mais nous passerons rapidement sur ses déclinaisons, celles-ci ayant déjà fait l’objet d’un dossier à part dans ces colonnes) et la Cadillac du Corniaud (qui trouve ici sa place logique). Pour Retour vers le Futur, le projet de base n’était pas une voiture mais un frigo.
L’idée de ce moyen de voyager dans le temps a été à l’époque abandonnée pour éviter d’éventuels problèmes de mimétisme par des enfants impressionnables voulant à leur tour effectuer l’expérience chez eux pour rencontrer leurs copains les dinosaures. On passe alors au projet d’une voiture qui se doit d’être futuriste pour coller à l’ambiance générale du scénario et comme dit Doc Brown, « quitte à choisir une voiture, autant en prendre une qui aie de la gueule ! ». La Delorean devint donc au fur et à mesure de cette trilogie un personnage à part entière mais surtout à part égale avec Chris Lloyd et Mike J. Fox. Virez la voiture de Retour vers le futur, vous n’avez absolument plus rien, car même la locomotive finale n’est qu’une extension de la Delorean. La boucle est alors bouclée puisque même le véhicule phare possède à son tour un prolongement. La révolution avec ce scénario ambitieux, outre l’incroyable quantité de paradoxes temporels introduits aux cours des pérégrinations des héros (un exemple simple : dans le troisième opus, le réservoir de la Delorean est percé par une flèche. La belle affaire ! Plutôt que de passer 105 mn à bricoler une chaudière avec des bûches de toutes les couleurs, pourquoi ne pas simplement piquer le réservoir de la Delorean enterrée au fond de la mine par Doc Brown pour le Marty de 1955 avec un peu d’essence ? De toute manière, ce modèle là ne bougera pas jusqu’à sa redécouverte par le Doc Brown de 1955 suite au message laissé par celui de 1875 … Vous suivez toujours ?) c’est que la voiture est au cœur de toutes les intrigues, tellement impliquée dans le destin des héros qu’elle va changer leur vie ! Et cette manière d’occuper l’écran… entre les roues qui laissent des traces de flammes, les gerbes électriques qui l’entourent et le fait qu’elle soit par la suite capable de voler, il me semble que tout ce qu’on pouvait humainement faire avec une vraie voiture a été fait, et de façon à ce que le tout s’imbrique parfaitement dans l’histoire, la Delorean s’imposant à travers les siècles en s’adaptant encore et encore.
La Batmobile a de son côté bien évolué depuis 1966 et reste dorénavant un élément fondateur du mystère entourant le Batman. Evidemment, par rapport à la Delorean, son impact scénaristique est moindre, mais elle représente la liberté de son héros ainsi qu’une partie de lui-même, plus encore que le Batplane. Elément quasi mystique dans la version de 1989 avec une turbine d’avion de chasse et un aérodynamisme massif mais percutant, elle acquiert ses lettres de noblesse en suivant la descente aux enfers du Dark Knight. Quasi invulnérable et pouvant elle aussi revêtir une véritable seconde peau résidant en une armure au déploiement fascinant, elle n’a de cesse de se faire malmener, disséquer, déstructurer et même violée dans une approche humanisante qui finira par la réduire à son essence essentielle pour sauver un Batman lui aussi progressivement discrédité aux yeux du public. Au même titre qu’un Pingouin ou qu’une Catwoman, la Batmobile a un temps plus que conséquent de présence à l’écran, de par son arrivée tonitruante en pleine célébration des fêtes de Noël de Gotham à la course poursuite n’engageant que Batman livré au main du Pingouin et laissant croire qu’il a totalement perdu le contrôle de lui-même aux yeux des habitants. L’impact de ce véhicule est tellement fort qu’un épisode entier lui sera consacré dans la fameuse série animée qui servait alors de transition mais aussi de présentation aux réalisations burtoniennes (Star Wars et son épisode animé récemment , ainsi qu’avec ses Clone Wars n’ont au final rien inventé dans ce domaine). Comment peut on dans ces conditions encore parler de simple accessoire voir plus déshonorant encore de gadget ? Malheureusement, dans les épisodes suivants (Batman Forever et Batman et Robin), on effectue une régression totale avec une Batmobile affreuse esthétiquement et seulement prétexte à une ou deux scènes mémorables, on pensera au fait qu’elle escalade les murs. Batman Begins et sa suite remettent heureusement les pendules à l’heure en suivant , détail amusant, la même progression scénaristique et dramatique que ses illustres aînés. Le tank de Nolan est dans le premier épisode un monstre de la route, donnant l’impression d’être parfaitement autonome et virtuellement indestructible avant de céder la place à une moto, plus légère, suite à un discrédit quasi général sur la chauve souris. Dans Returns, Batman est attaqué de toute part, on fait donc de même dans The Dark Night. Néanmoins, son esthétique barbare emporte l’adhésion et achève d’installer la franchise sur de nouveaux rails, en totale rupture avec l’univers (animé et fictionnel) crée auparavant. Audacieux et payant.
On terminera le côté prestige du véhicule en citant un vieux film français populaire, à savoir le Corniaud, qui possède lui aussi une voiture mémorable, véritable Mont de Piété sur quatre roues pour gangsters malchanceux et représentant le lien parfait entre Saroyan / De Funès et Bourvil , possédant l’aspect vif et avisé de l’un et l’insouciance tranquille de l’autre, simplement dans ses lignes de forces . La Cadillac est toute en longueur et, via une très belle carrosserie, permet des rebondissements incroyables de scénario pour l’époque qui auraient été tout bonnement inconcevables sans elle. Tout le film va se retrouver basé sur elle, de son entrée indirecte dans l’univers de Bourvil via la destruction de sa deux-chevaux (tour de force intéressant d’introduire aussi longtemps, si l’on ajoute la scène de restaurant, une voiture sans la montrer à l’écran) à sa condamnation finale, tout contaminé qu’il est par la fourberie de De Funès.

La voiture est donc parvenue à devenir un personnage à part entière dans l’industrie hollywoodienne. Mais cela ne suffit plus. En ces temps troubles surgit alors une nouvelle évolution : si l’on est capable de transférer une âme dans une poupée Good Guy, pourquoi ne pas en faire autant sur un véhicule fédérateur et d’apparence diront nous mignonne, la Coccinelle ? Les studios Disney vont alors faire fort en trouvant un véhicule suffisamment complexe pour donner l’impression de la vie et suffisamment enfantin afin de rassembler tout un public plus ou moins jeune. La voitures sont désormais semi autonome et peuvent vire leur propre histoire, à condition qu’un ou deux humains relativement dégourdis ou du moins au fond de l’âme pur et avec suffisamment de motivation déambulent à proximité pour assurer son entretien. En cela, le premier opus de cette franchise qui a été réactualisé avec un bonheur certain récemment est extrêmement bien ficelé, nous offrant une Coccinelle humanisée au possible, véritable allégorie de nos défauts les plus primaires (orgueil, jalousie et j’en passe) enrobée dans une couche de sentiments plus nobles (courage, sacrifice et sens de la justice). Néanmoins, Hollywood is Hollywood et si une voiture peut être gratifiée d’une bonne âme, mais en position de relative célibataire, on peut encore faire mieux et fabriquer une voiture de toute pièce ayant répartie et humour puisque pouvant parler …. On pensera forcément à K 2000 et à la mythique Pontiac de David Hasseloff (rachetée entre temps par Vincent Perrot, mais c’est une autre histoire). A partir de là, fini les histoires pour gosses et bonjour les scénarii pour ados avec une voiture capable de faire jeu égal avec l’acteur vedette de la série et pouvant de surcroît être de bon conseil et prendre des initiatives. Le show d’ailleurs sera vendu sur le nom de M. Knight et de Kitt , les deux personnages partageant la même initiale mais aussi l’affiche. De plus, avec ce parangon des séries des années 80 (qui donnera naissance à un genre valable sur tous les moyens de locomotion possible de Tonnerre mécanique pour la moto à Supercopter pour la voie des airs et même dans les années 90 à Caraïbes offshore pour la voix des mers, avec un différence notable par rapport au modèle référentiel, c’est que ces derniers appareils, aussi perfectionnés soient ils ne possède pas de personnalité propre), l’humanisation va être poussée à son paroxysme, Kitt pouvant éprouver divers sentiments et même de la peur suite à un accident où elle a failli y perdre ses microprocesseurs et dans lequel elle refuse de se dépasser, entravant sérieusement le déroulement de la mission du jour. Et comme pour parfaire l’antagonisme de son caractère humain, on va alors créer un Nemesis parfait, représentation idéale du jumeau diabolique et donc deux aspects de personnalités qui se révèlent alors complémentaires en la calandre de Karr pour un des épisodes les plus fameux de la franchise (repris d’ailleurs avec Supercopter dans un opposé orange lançant non plus des missiles mais des lasers….). La voiture prend donc son envol , est capable de pensées et d’actions, tout comme l’homme….et comme ce dernier, certaines vont tourner mal. Vraiment mal. Voire être simplement possédées et assoiffées de sang.
Rassurez vous, on est encore loin (heureusement) de la transposition mécanique de Christopher Lee, mais on s’attarde volontiers sur deux gros succès du monde du dvd : Enfer mécanique et bien évidemment Christine de Carpenter. Le diable ou la possession démoniaque sont alors au rendez vous pour ces deux films de la même décennie ou presque mettant en scène des voitures magnifiques, arborant des carrosseries noires ou rouge métallisées, et capable de traquer jusqu’à la mort un groupe d’individus variés pour des motifs aussi divers que la vengeance ou le plaisir de tuer simplement. La voiture devient Slasher et pervertie l’âme humaine alors que jusqu’à maintenant, l’humain trouver régulièrement dans sa voiture un moyen d’extérioriser ce qu’il était réellement (un tombeur ou un vantard n’aura jamais de R5 à l’écran et inversement un geek roulera rarement en Ferrari….). La boucle est bouclée, notamment dans une scène extrêmement marquant où la Plymouth Furie de 1958, toute à la perspective de se faire ses pneus neufs sur le visage d’une adolescente entreprenante, va se faire écraser par un véhicule de chantier. Mais là où le réalisateur fait très fort, c’est dans le traitement de la douleur et de l’acharnement du véhicule à ne pas rendre les armes. La voiture plie, le métal se déchire et produit un bruit assourdissant, la voiture se plaint littéralement mais n’abandonne pas, quitte à traîner son bourreau avec elle sur plusieurs mètres avant de se faire complètement écraser jusqu’à l’extinction de l’étincelle de vie qui l’habitait avec un phare s’éteignant progressivement. La voiture d’Hollywood peut donc vivre, aimer, vouloir tuer, souffrir et enfin mourir.

On se dit alors que l’évolution, tout comme celle de l’homme est complète et qu’on ne pourra pas aller plus loin. Détrompez vous, le dernier stade a été atteint il y a moins de 5 ans grâce à Pixar et son flamboyant Cars. Dans cet univers totalement recrée à l’échelle des boîtes à moteurs, la voiture s’affranchit de son créateur et se subvient à elle-même dans le premier film où une quatre roue est humanisée, avec des expressions humaines, des besoins humains, des sentiments humains via l’amour, l’envie, le goût de la victoire, la chappe de la défaite et consort. Et pas un bipède à l’horizon pour une histoire comme toujours pour le studio proche d’un parcours initiatique permettant à la voiture insouciante et égoïste de mûrir et de découvrir le sens de la vie, démontrant ainsi que même les moteurs de courses peuvent passer de l’age ingrat de l’adolescence au monde posé des adultes.

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07:25:00, Cat�gories: Test / Critique  

par Nicore

Night of the seagfulls

Dernier volet de la tétralogie d’Amando De Ossorio dédiée aux templiers morts-vivants ( après Tombs of the blind dead, The return of the evil dead et The ghost galleon), ce Night of the seagulls, sorti à l’époque chez nous sous le titre de La chevauchée des morts-vivants revient quelque peu aux sources du mythe pour nous délivrer une intrigue pesante et limpide mais diablement efficace en dépit d’une certaine lenteur dans l’action.
Le script suit l’arrivée d’un jeune médecin et de son épouse dans un petit village côtier reculé et où se pratique un étrange rituel destiné à donner en sacrifice épisodiquement des jeunes femmes, emmenées par des templiers morts-vivants.

Night of the seagullsPour ce dernier épisode de la saga des templiers, le réalisateur reprendra ses bonnes habitudes en nous gratifiant d’une séquence d’introduction médiévale suivant un jeune couple perdu sur la route de leur nouvelle maison et qui vont être les victimes des templiers, ceux-ci tuant l’homme avant d’embarquer la jeune femme qu’ils vont offrir en sacrifice à la statue d’une divinité ancestrale en lui arrachant le cœur pour le poser dans la gueule de cette statue lors d’une séquence alliant un aspect vaguement érotique à un côté sanglant plutôt volontaire, tout en mettant en avant la cruauté inhumaine de ces templiers asservis au Mal.

Night of the seagullsEnsuite le métrage va revenir au temps présent pour suivre l’arrivée d’un jeune couple, Henry et Joan, dans un village archaïque, pour nous indiquer tout de suite la fonction de médecin que Henry doit commencer à exercer sur place. Cherchant la maison de l’ancien praticien du village, le couple va se rendre dans l’épicerie locale pour être reçus par un mutisme apeuré des habitants du cru qui vont ignorer les questions d’Henry, obligeant celui-ci à hausser le ton et à empoigner un homme pour lui soutirer l’information désirée. Cette première séquence dans ce village rustique laissera d’entrée régner une atmosphère sinistre et mystérieuse, que ne fera que confirmer la rencontre avec le vieux médecin pressé de partir et qui va mettre en garde le couple contre toute sortie nocturne, tout en acceptant de se faire raccompagner par Henry. Seule, Joan va commencer à déballer leurs affaires, sous les yeux d’un individu louche au faciès inquiétant qui se révélera être l’idiot du village persécuté par ses pairs et cherchant un refuge que Joan lui offrira.

Night of the seagullsViendra alors la première nuit, au cours de laquelle, réveillés par des bruits de cloches et le cri des mouettes, Henry et Joan vont assister à une partie d’une étrange procession au cours de laquelle les femmes du village, toutes vêtues de noir, vont accompagner une jeune femme sur la plage pour l’offrir aux templiers sortis de leurs tombeaux et descendus sur la plage sur le dos de leurs montures fantomatiques. Cette séquence nocturne sera magnifique, aussi bien par cette sorte de cérémonie curieuse et étrange incitant les habitantes du village à aller en cortège sur la plage que par cette nouvelle résurrection des templiers, certes moins étalée que précédemment mais toujours aussi graphique, notamment avec cette chevauchée sur la plage.

Night of the seagullsLe lendemain Joan va essayer d’aller faire des courses à l’épicerie déjà visitée pour réussir à obtenir des vivres grâce à l’aide de Lucy, une demoiselle orpheline qui va obtenir de travailler pour le couple. La nuit suivante, alors qu’aucun patient ne sera venu consulter Henry, une jeune femme hystérique va se présenter au domicile du médecin et après avoir reçu un tranquillisant, les habitants du village vont venir la chercher, puisqu’elle sera la prochaine victime des templiers que nous aurons le plaisir de revoir à l’œuvre pour un nouveau sacrifice.
Bien entendu, la prochaine sur la liste des sacrifiées sera Lucy, poussant alors Henry à agir au péril de sa vie et de celle de Joan.

Night of the seagullsLe métrage aura l’avantage de pouvoir compter sur une intrigue limpide et simple pour peu à peu nous en apprendre plus sur ces templiers venant depuis six siècles tous les sept ans réclamer sept nuits consécutives une jeune femme pour offrir à leur Dieu et ainsi laisser le village en paix, chose que les habitants effectuent sans le moindre remords et sans même chercher à se battre, dans une sorte de tradition séculaire obligatoire et sans rémission mais faisant vivre dans la peur des inconnus tout le village, expliquant ainsi cette crainte légitime à l’arrivée d’Henry et de son épouse. Et justement, cette atmosphère aussi sinistre qu’étrange qui englobera le film de bout en bout participera activement à la création d’une ambiance tendue et délétère, non sans rappeler les écrits de Lovecraft, et notamment "Le cauchemar d’Innsmouth", tout en suivant une logique implacable.

Night of the seagullsLes templiers morts-vivants auront en plus une présence à l'écran assez conséquente puisque en plus de trois scènes de sacrifice, nous aurons le loisir de les suivre lorsqu'ils vont investir le village déserté par ses habitants suite à un rebondissement de l'intrigue, tandis que dans la dernière partie du film, ils vont venir cueillir Henry, Joan, Lucy et Teddy calfeutrés dans leur maison pour un nouveau huit-clos directement hérité de celui de La nuit des morts-vivants de Georges A. Romero qui laissera un final très graphique venir détruire pour toujours les templiers lors d'une conclusion émérite certes quelque peu simpliste par son argument destructeur mais terriblement visuelle.

Night of the seagullsLes personnages seront ici crédibles et plus fouillés que d'habitude, pour nous faire part des peurs de Joan mais aussi des convictions d'Henry dans sa fonction de médecin, bien vite mise à mal par le manque de patients, et les seconds rôles, assez peu nombreux, apporteront tous leur pierre à l'édifice, d'autant plus que l'interprétation sera ici convaincante et cohérente jusqu'à rendre communicative les frayeurs des protagonistes. La mise en scène d'Amando De Ossorio est toujours aussi efficace dans ce mélange de poésie macabre et d'onirisme pour regarder évoluer ces templiers au ralenti lors de scènes toujours aussi impactante et formellement magnifiques. Les quelques effets spéciaux demeureront simplistes lorsqu'il s'agira de faire couler le sang, mais les maquillages des morts-vivants seront toujours aussi graphiques.

Donc, ce The night of the seagulls constituera une conclusion largement satisfaisante à cette tétralogie globalement efficace et parcourue d'un charme macabre resplendissant !

Night of the seagullsLe DVD de zone 2 anglais édité par Anchor Bay avancera une image hélas parfois granuleuse et délavée, tandis que la bande-son sera terriblement efficace avec ses râles entremêlés à ces chants grégoriens envoûtants, le métrage étant ici présenté dans sa version anglaise accompagnée de sous-titres anglais optionnels.
Au niveau des bonus, il faudra se contenter des bandes-annonces des quatre films de la franchise et d'une assez longue galerie de photos et d'affiche du film, même si les mêmes clichés sont repris plusieurs fois.

Pour ceux qui voudraient suivre ce dernier et très réussi volet de la saga des templiers morts-vivants, le DVD de zone 2 anglais est disponible ici et bien entendu dans le coffret regroupant les titres de la franchise !

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